Jennifer - Episode 2 – Les Conséquences

Sous l’effet de l’excitation de cette soirée hors normes, et de mes tourments vis-à-vis de Nathalie, je mets longtemps à m’endormir. Mais la fatigue d’une semaine de dur labeur me ratt, et lorsque j’émerge… il est midi passé !

Midi passé ? Mais… Nathalie ? Est-elle de retour ? La maison est bien silencieuse… Un SMS m’en donne l’explication : Nathalie m’annonce en effet qu’elle a eu un contretemps, qu’elle arrivera dans l’après-midi.

Mes tourments me reprennent, je suis incapable de fixer mon esprit sur autre chose. Je grignote et m’installe devant la télévision, mais bientôt les programmes me lassent, j’éteins la télévision et reste vautré sur le canapé, mes idées vagabondent, je revis la soirée de la veille, je me demande encore quelle attitude adopter vis-à-vis de mon épouse…

J’ai dû m’endormir… Je me réveille en sursaut, lorsqu’une tornade envahit soudain le salon. Et quelle adorable tornade, quelle désirable tornade ! Nathalie, plus belle que jamais, s’est visiblement faite belle afin d’allumer son époux… Mes yeux se posent sur de jolies sandales à talon qui mettent en valeur ses jambes fuselées et bronzées… Mon regard remonte, les cuisses se perdent sous une jolie mini en cuir, qui moule parfaitement ses fesses rebondies. Plus haut, un corsage en dentelle d’un joli rose, dont les deux premiers boutons sont déboutonnés, invitation à poursuivre la tâche, met en valeur ses jolis seins ronds… la coquine n’a pas mis de soutien-gorge…

Que j’aime ma femme ! Comme je la désire à cet instant ! Je me dis qu’il est bien stupide d’avoir envie d’aller voir ailleurs quand on a pareille merveille à la maison.

Je me lève et la prends dans mes bras, la serre contre moi et prends ses lèvres pour un long baiser d’amoureux. J’ai envie d’elle, mon sexe parle pour moi…

« Eh bien, coquin, on dirait que ta petite femme t’excite ? » Elle glisse une main entre nous pour caresser mon dard à travers le pantalon…

« Ma petite femelle en chaleur, devrais-tu dire… vêtue pour la saillie du mâle ! » Mes mains s’égarent sur ces fesses, se glissent sous la mini pour découvrir… que la coquine ne porte rien dessous !

« J’ai envie de ta queue ! » joignant les actes à la parole, elle ouvre ma braguette pour libérer l’objet de son désir, s’accroupit et le gobe avec douceur… sa bouche est chaude et onctueuse… ses lèvres font des va-et-vient sur ma hampe, sa langue virevolte autour de mon gland.

Ma femme est une experte suceuse, encore une fois je me dis pourquoi chercher ailleurs ce qu’elle me prodigue avec autant de plaisir, de gourmandise et de dextérité ? Et pourtant, hier soir 5 coquines se sont partagées mon sexe dressé, avant qu’une sixième de 19 ans ne termine le travail….

Nathalie me déguste avec art… maitresse de mon plaisir, elle sait varier les plaisirs, et ralentir aussi pour me faire languir… J’ai envie de jouir, la garce s’échine à m’en empêcher, avec un petit regard qui veut dire que c’est elle qui décide…

Enfin elle m’achève, ma jouissance est fulgurante, dans un râle je lâche de longs jets de semence dans sa bouche. Comme Jennifer la veille, elle se relève pour me montrer sa bouche pleine de mon plaisir, mais avant d’avaler elle m’embrasse pour partager ma semence.

Je m’effondre sur le canapé, il me faut quelques minutes pour reprendre mes esprits. Nathalie s’est assise sur le fauteuil qui me fait face, elle écarte les jambes pour me faire deviner son entre-jambes qui je pense doit être bien en émoi…

Un désir fou me prends, et me fait agir comme jamais auparavant… Je me lève, prends Nathalie par les cheveux pour la faire se lever et l’entrainer vers la table. Arrivé là, je la courbe et lui plaque le torse sur la table. La tenant d’une main par le cou, de l’autre je remonte sa mini pour découvrir son cul si bandant, lui écarte les jambes sans ménagement et lui plaque la main sur son entre-jambes que je découvre effectivement trempé.

« Ah, petite salope, tu avais envie de te faire saillir, tu vas être servie ! »

Un doigt s’égare sur son petit bouton tout dur, elle gémit sous la caresse. Puis pousse un râle lorsque deux doigts investissent son sexe béant. Je la fouille sans ménagement, m’attaque à sa petite rondelle qui est bientôt également investie en alternance. Ce traitement lui arrache un gémissement de plaisir ininterrompu.

La voir ainsi offerte dans une position soumise qui ne lui est pas coutumière mais qu’elle semble apprécier au plus haut point redonne rapidement de la vigueur à ma virilité, et bientôt je la prends à grands coups de queue, je me déchaine sur ma femelle, la tenant par les hanches, à chaque va-et-vient mon dard ressort presque de sa grotte avant de la réinvestir jusqu’à la garde.
A ce rythme la jouissance nous emporte rapidement tous les deux.

Nous nous étendons sur le canapé pour reprendre notre souffle, tendrement enlacés.

« J’ai adoré mon chéri » m’avoue Nathalie « mais qu’est-ce qui t’a pris ? Je ne t’avais jamais vu aussi autoritaire, aussi déchainé »

« C’est que je ne t’avais moi jamais vue tellement allumeuse… d’où t’est venue cette idée d’arriver dans cette tenue appelant le sexe ? »

« J’avais envie de toi après toute cette semaine sans se voir… » Répond-elle simplement en se lovant contre moi.

Ma propre réponse me satisfait à moitié : mes actes de la veille n’ont-ils pas une responsabilité dans ma conduite ? Ai-je voulu inconsciemment de cette façon reprendre possession de ma femme ? L’idée m’effleure que sa réponse est également insuffisante, mais je l’écarte, obnubilé par les conséquences de cette soirée d’hier.

D’un coup, je me décide : « ma chérie, j’ai quelque chose à t’avouer… » Et je lui raconte d’une traite la soirée de la veille, sans en omettre aucun détail.

Elle ne m’interrompt pas. Une fois que je me tais, elle s’écarte imperceptiblement de moi et reste silencieuse, le visage fermé.

« As-tu toujours le numéro de Jennifer ? » me demande-t-elle ?

« Oui, il est dans mon portefeuille où je l’ai mis hier soir »

« Donnes-le moi ! »

Je m’exécute, me lève, vais chercher mon portefeuille, en retire le papier que m’as remis Jennifer et le tend à Nathalie. Sans un mot elle s’en saisit, regarde le numéro pendant quelques secondes, puis d’un geste rageur froisse le papier et le jette au loin.

De nouveau, elle reste silencieuse, elle semble perdue dans ses pensées. Je suis inquiet de sa décision, et je n’ose rien dire.

Puis : « J’ai moi aussi quelque chose à t’avouer… Je crois bien que si tu n’avais pas été aussi honnête je ne t’en aurai rien dit, mais après tes aveux, je ne peux pas me taire ».


Après une interruption, elle commence son récit. Hier soir, pour la fin de sa formation, une soirée était prévue. Ils sont tous allés au restaurant, puis l’un des participants, Jean-Pierre, a proposé de finir la soirée en boite. Nathalie adore danser, elle n’a pu résister à cette invitation.

Jean-Pierre est un de ses collègues, très bel homme, qui depuis longtemps la drague gentiment, elle ne me l’a jamais caché et repoussait avec constance ses avances. Hier, plus que jamais Jean-Pierre lui a sorti le grand jeu. Grisée par la danse et un peu trop de boissons alcoolisées, Nathalie l’a laissé avancer ses pions… au point de se retrouver vers deux heures du matin dans la chambre de Jean-Pierre !

Elle a soudainement réalisé dans quelle situation elle s’était mise… et aussi que Jean-Pierre ne la laisserait pas partir comme cela. Alors, peut-être au même moment que moi sur la croix, elle l’a sucé, l’a fait jouir et s’est enfuie dans sa chambre.

Elle avait tellement honte de sa conduite qu’elle n’a osé revenir à la maison que cet après-midi. Et pour exorciser cette soirée elle s’est habillée de façon à provoquer immédiatement mon désir.

C’est à mon tour de rester sans voix. Bizarrement, nos deux aventures sont assez parallèles ! Et ma femme comme moi, après avoir été soumis à la tentation, avons réalisé notre erreur, non sans quand-même en subir les conséquences.

Finalement, je lui prends doucement la tête entre mes deux mains, et l’attire vers moi pour un tendre baiser. Nous refaisons l’amour, mais cette fois dans la douceur et la tendresse…


La vie reprend son cours. Le lundi, lorsque je retrouve Patrick au bureau, c’est très gêné qu’il vient s’excuser pour son attitude de vendredi. Il a agi à la demande de Karine qui désirait m’attirer dans son lit. Il me dit que celle-ci est doublement vexé, de mon apparente indifférence à son égard, et aussi de s’être fait voler ma jouissance par sa propre fille…

« Rassures-là, ton épouse me plait beaucoup… mais elle doit comprendre que j’ai Nathalie ! »

« Et Jennifer ? » me demande Patrick ?

« Sûr qu’elle aussi aimerait m’avoir à son tableau de chasse.
Mais je n’ai absolument pas l’intention de lui donner satisfaction. »

Les semaines passent. Je me tiens sans problème à ma résolution, je ne pense plus ni à Karine ni à Jennifer. Nathalie et moi explorons avec délice les nouveaux horizons ouverts par la domination / soumission.

Mais… tout est-il vraiment terminé ? A cet instant j’en suis persuadé.

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